A chaque fois que vous avez une tâche à exécuter, demandez-vous « N’y a-t-il pas une manière de faire plus facile ? ou « comment puis-je y arriver plus facilement ? » Pouvez-vous demander de l’aide à un ami ? Avez-vous essayé de regarder sur Google. Existe-t-il des services externes qui pourraient vous aider ? Peut-être y aura-t-il des petits miracles si vous demandez aux autorités compétentes ?
Je suis déroutée quand je me pose la question et réalise combien la réalisation des tâches est facilitée en se faisant aider. Et la force que j’ai gagnée ainsi peut se concentrer sur un seul objectif commun : faciliter les choses pour les autres. Tout cela arrive parce que nous sommes une espèce qui travaille pour se rendre les choses plus faciles.
Mais si nous restons persuadés que « la vie est dure », nous ne pourrons pas tirer avantage de la facilité étonnante que nous avons créée.
crédit photos: pixabay/madsmith33
Martha Beck
Traduction Bénédicte Bringuier pour Horizoom
Un des livres de Martha Beck traduit en français
Trouvez votre voie dans un monde changeant (accès sur Amazon)
Son blog Martha Beck
Texte original
Every time you set out to do any task, ask yourself, “Is there an easier way?” Or, “How can I make this easier?” Can you ask a friend for help? Have you tried Googling it? Are there services out there to help you? Might small miracles happen if you simply ask the powers that be for assistance? It floors me when I ask this question to myself and realize how much easier tasks have become. And, the strength I gained gutting it through the hard parts of life is now free to flow into tasks that have one common purpose: to make things easier for others. That’s why all of this is happening, people. We are a species that works to make things easier. We’re getting really good at it. But, unless we drop the idea “life is hard,” we can’t take advantage of the astonishing ease we have created.